1. Qu'est-ce qu'une agence low code ?
a/ Définition simple et clarification du concept.
Vous pensiez peut-être que le low code était réservé aux geeks ?
Attendez de voir à quel point il peut transformer n’importe quelle entreprise.
Et surtout, de façon rapide, souple, et sans se ruiner.
Une agence low code, c’est bien plus qu’un prestataire technique.
C’est une équipe experte capable de créer des applications web, des outils métiers, ou même des logiciels sur mesure… avec peu de lignes de code.
Par conséquent, les délais raccourcissent, les coûts s’allègent, et les idées prennent vie plus vite.
Contrairement au développement traditionnel, le développement low code repose sur des interfaces visuelles, des systèmes de glisser-déposer et des briques fonctionnelles déjà prêtes.
Pas besoin de coder chaque bouton, chaque interaction, chaque base de données.
Tout est pensé pour créer des solutions personnalisées, sans le poids de la complexité technique.
Une agence spécialisée dans ce domaine connaît parfaitement les plateformes low code comme Weweb, Xano ou encore Make.
Elle ne se contente pas d’assembler des modules.
Elle conçoit des produits digitaux sur mesure, capables de s’intégrer aux processus internes, de répondre aux besoins terrain, et surtout, de grandir avec l’entreprise.
En résumé, une agence low code, c’est une agence de développement logiciel qui privilégie l'agilité, la performance, et surtout la création rapide de solutions digitales.
Le tout, sans compromettre la qualité ni l'expérience utilisateur.
b/ Différence entre le low code, le no code et le développement classique.
Low code, no code, développement classique… Pas toujours évident de s’y retrouver. Pourtant, la différence change tout.
Et elle peut déterminer le succès ou l’échec d’un projet.
Le développement classique repose sur une écriture manuelle de chaque ligne de code. Tout y est construit à la main, du back-end au front-end.
- C’est précis.
- C’est puissant.
- Mais c’est long.
- Très long.
- Et souvent coûteux.
Le no code, lui, s’appuie uniquement sur des outils visuels et des plateformes prêtes à l’emploi.
- On clique.
- On assemble.
- On crée un site ou une application mobile sans aucune connaissance technique.
L’approche convient bien aux MVP, aux landing pages ou aux process simples.
En revanche, dès que le besoin devient spécifique ou que l’on touche aux flux métier, les limites apparaissent.
C’est là que le développement low code entre en scène.
Imaginez une solution hybride.
Une méthode qui combine la puissance du code avec la rapidité des interfaces graphiques.
Vous gagnez en vitesse, en flexibilité, tout en gardant la capacité d’adapter chaque fonctionnalité à vos besoins précis.
👉 Exemple : créer un formulaire de réservation.
Avec du no code, on utilise un bloc standard, sans marge de manœuvre.
Avec du low code, on personnalise les règles métiers, l’affichage dynamique, l’intégration CRM... et on conserve un temps de développement très court.
Avec du code pur, chaque champ, chaque validation, chaque connexion API est programmée manuellement. Plus de contrôle, certes, mais un investissement plus lourd.
Le low code permet d’aller plus loin qu’une solution “drag-and-drop”, sans tomber dans la lourdeur du développement traditionnel.
C’est un parfait compromis entre agilité, maîtrise technique et performance.
c/ Les missions principales d’une agence low code.
Quelles sont les vraies missions d’une agence low code ?
Spoiler : bien plus que de cliquer sur des blocs dans un outil visuel.
D'abord, elle joue un rôle de conseil stratégique.
Avant toute ligne de code ou de “no code” elle écoute, creuse, analyse.
Elle identifie les besoins métier, les points de friction, les opportunités de simplification.
Ce diagnostic est la base.
Il oriente les choix techniques, les priorités, et surtout, le type de solution digitale à concevoir.
Ensuite, l’agence entre dans la phase de conception d’applications.
Elle conçoit l’interface utilisateur, structure les bases de données, paramètre les automatisations, et construit un produit digital sur mesure.
Le tout à l’aide d’outils low code puissants comme Xano, Weweb, ou Make.
Mais ce n’est pas tout !
Une agence spécialisée ne s’arrête jamais à la livraison.
Elle prend aussi en charge l’intégration avec les systèmes existants :
CRM, ERP, solutions cloud, API tierces…
Le but ?
Assurer une fluidité parfaite dans les process internes.
Et surtout, elle accompagne sur le long terme.
Un bug, une évolution métier, une nouvelle fonctionnalité ?
Elle assure la maintenance, l’optimisation continue, et propose même des services rapides pour faire évoluer la solution à mesure que l'entreprise grandit.
👉 Exemples :
- Un CRM connecté à une base Airtable et synchronisé avec un agenda partagé.
- Un ERP modulaire, construit avec Xano pour gérer stock, commandes et logistique.
- Un portail interne développé avec Weweb pour centraliser tous les documents RH.
- Une automatisation complète des relances clients par email, sans intervention manuelle.
C’est simple : une bonne agence low code transforme une idée brute en application web ou mobile fluide, robuste, et parfaitement alignée avec les enjeux du client.
d/ Pourquoi elles sont devenues incontournables.
Le marché évolue rapidement… et elles risquent de bientôt tout rafler !
Pourquoi ?
Parce que les entreprises n’ont plus le luxe d’attendre.
Et surtout, elles ne veulent plus se plier aux contraintes des solutions classiques.
Aujourd’hui, chaque jour compte.
Les délais s’accélèrent, les idées doivent devenir des applications web en quelques semaines, pas en plusieurs mois.
Et c’est précisément là que les agences low code changent la donne.
Grâce à leur expertise low code, ces structures offrent un nouveau rythme.
Un tempo plus agile, plus fluide, mieux aligné sur les réalités du terrain.
Elles permettent de créer des outils sans dépendre d’équipes de développement surchargées ou de budgets XXL.
Mais ce n’est pas tout.
Ces agences spécialisées proposent une nouvelle approche digitale : elles ne vendent pas juste une app, elles construisent des process sur mesure, connectés, évolutifs.
En s’appuyant sur des solutions low code robustes, elles transforment une idée en produit numérique performant… tout en réduisant le temps de développement.
En conséquence, elles deviennent des partenaires stratégiques pour les directions métier, les startups, les DSI.
Leur capacité à livrer vite, à s’adapter, à accompagner, voilà ce qui fait toute la différence.
Alors oui, les agences low code s’imposent.
Parce qu’elles répondent à une attente forte : celle d’un développement logiciel plus rapide, plus souple, plus intelligent.
2. Comment choisir une agence low code ?
a/ Clarifier vos objectifs et vos besoins en développement.
Avant même de choisir une agence low code, il y a une question incontournable à se poser :
Qu’est-ce que vous attendez vraiment de votre projet digital ?
- Souhaitez-vous réduire les délais ?
- Lancer un MVP en un temps record ?
- Automatiser un process interne ?
Ou peut-être, cherchez-vous une solution web évolutive, capable d’évoluer avec votre croissance ?
C’est ici que tout commence.
Une bonne agence et surtout les meilleures agences ne se contentent pas de livrer une application web.
Elles vous aident à définir le bon cap, en posant les bonnes questions dès le départ.
Et pour ça, encore faut-il que vous ayez une vision claire de vos objectifs.
Souhaitez-vous un projet rapide ou une solution robuste sur le long terme ?
Avez-vous besoin d’un accompagnement étroit ou préférez-vous une exécution autonome ?
Votre budget est-il fixe ou ouvert à des ajustements en fonction des livrables ?
Ce type de cadrage permet non seulement d’éclairer votre choix, mais aussi de mieux comparer les services personnalisés proposés par les agences.
Déterminer vos priorités en termes de fonctionnalités, d’évolutivité et de délai.
Toutes les agences ne parlent pas le même langage.
Et toutes les entreprises n’ont pas les mêmes attentes.
Avant d’analyser les services proposés, il est donc essentiel de poser à plat trois éléments clés :
- fonctionnalités attendues,
- capacité à évoluer
- et délai de livraison souhaité.
Commençons par les fonctionnalités.
- Avez-vous besoin d’un tableau de bord personnalisé ?
- D’un système de notifications intelligentes ?
- D’un workflow métier complexe ?
Plus votre cahier des charges est précis, plus l’agence pourra adapter son approche et proposer un développement low code sur mesure.
Ensuite, penchez-vous sur l’évolutivité.
Un projet figé dans le temps risque de devenir rapidement obsolète.
Vérifiez donc que l’agence peut concevoir une application modulable, capable d’intégrer de nouveaux modules ou de se connecter à d’autres outils plus tard.
Les meilleures agences savent anticiper cette dimension et la rendre fluide, sans tout reconstruire.
Enfin, posez clairement votre cadre temporel.
Certaines solutions low code permettent de livrer en quelques jours.
D’autres nécessitent plus de temps pour garantir une expérience utilisateur optimale. Un bon cadrage évite les incompréhensions.
Il permet de filtrer dès le départ les agences dont les délais ou la méthode ne collent pas à vos besoins.
👉 Ce tri vous aidera à mieux comparer les tarifs compétitifs, la réputation, et la capacité d’accompagnement de chaque agence low code… sans perdre de temps à naviguer dans le flou.
b/ Évaluer l’expertise et la spécialisation technique de l’agence.
Choisir une agence, c’est facile.
Choisir la bonne agence low code, c’est une autre histoire.
Et tout commence par une vérification essentielle : leur niveau d’expertise.
Une vraie agence spécialisée ne se contente pas de vous vendre des promesses.
Elle montre ses réalisations concrètes, prouve sa maîtrise technique, et détaille ses projets réussis.
- MVP,
- marketplace,
- portail client,
- automatisation…
Chaque projet raconte une histoire. À vous d’écouter.
Parcourez leur portfolio.
Observez le type de solutions low code qu’ils ont développées.
Une simple landing page ne demande pas la même technicité qu’un système de gestion interne ou une application mobile connectée à une base de données.
Et c’est là que l’écart se creuse entre une agence polyvalente… et une autre simplement opportuniste.
Les meilleures agences partagent aussi leurs méthodologies : ateliers de cadrage, phases de prototypage, intégration avec des outils comme Webflow, Weweb, Xano, ou Make.
Ce niveau de détail est souvent un bon indicateur de sérieux et de maturité technique.
Enfin, n’oubliez pas les avis clients.
Ils donnent un aperçu précieux du niveau d’accompagnement, de la capacité à tenir les délais, et de la réputation de l’agence.
Une expertise se prouve aussi par la confiance qu’on lui accorde.
👉 En clair : si l’agence coche les cases sur les technos utilisées, les projets livrés, et la satisfaction client… vous tenez probablement un partenaire fiable pour votre projet.
Analyser le processus de travail (ateliers d’analyse, validations intermédiaires, méthodologie agile).
L’expertise, ce n’est pas juste une question de résultats.
C’est aussi une question de méthode.
Et une agence low code qui maîtrise son sujet suit un processus clair, fluide, et orienté valeur client.
Première étape : les ateliers d’analyse.
Ces sessions permettent de décortiquer vos process métiers, de définir des objectifs concrets, et de poser les fondations d’une solution personnalisée.
Une agence sérieuse ne vous proposera jamais un outil générique sans ce travail préalable. C’est dans ces moments que se construit une vraie stratégie digitale.
Deuxième étape : les validations intermédiaires.
Ici, pas de tunnel opaque.
L’agence partage des maquettes, des prototypes, des versions intermédiaires.
Vous suivez les avancées, vous testez, vous ajustez.
Ce dialogue permanent permet de gagner en qualité, en précision, et surtout en alignement avec vos besoins réels.
Troisième étape : une méthodologie agile.
Itérations rapides, cycles courts, feedbacks réguliers…
Le développement low code se prête parfaitement à cette approche.
Elle offre la flexibilité nécessaire pour intégrer les imprévus, tout en gardant le cap sur la livraison rapide.
En analysant ces trois dimensions, vous pouvez évaluer la maturité de l’agence.
Celles qui suivent une méthode structurée proposent souvent des services personnalisés, plus fonctionnel, et livrent des projets low code qui tiennent dans la durée.
c/ Analyser la capacité d’accompagnement et de support.
Signer avec une agence low code, c’est facile.
Mais qu’en est-il après la mise en ligne ?
C’est souvent là que tout se joue.
Parce qu’un projet digital, ça ne s’arrête jamais au bouton “Publier”.
Une agence spécialisée sérieuse vous accompagne bien au-delà du lancement.
Elle prévoit des points de contrôle, des ajustements continus, des évolutions stratégiques.
Et c’est ici que la notion de suivi post-lancement devient critique.
Posez cette question simple : que se passe-t-il une fois que votre outil est en ligne ?
👉 Il a-t-il un support technique réactif ?
👉 Des mises à jour régulières ?
👉 Un système clair de maintenance évolutive ?
Les meilleures agences ne disparaissent pas après livraison.
Au contraire, elles deviennent un véritable partenaire, capable de faire évoluer votre application web ou mobile selon votre croissance, vos retours utilisateurs, ou les besoins émergents du marché.
Certaines proposent même des forfaits d’accompagnement ou des formules sur-mesure, intégrant :
- l’ajout de nouvelles fonctionnalités,
- l’optimisation UX,
- ou l’intégration avec de nouveaux outils (CRM, ERP, automatisations…).
Un bon suivi post-projet, c’est aussi la garantie d’un investissement durable, avec un développement low code qui continue de produire de la valeur, semaine après semaine.
👉 Conseil : lisez attentivement les avis clients.
Ce sont souvent eux qui révèlent la vraie nature de l’accompagnement… bien plus que n’importe quelle promesse commerciale.
d/ La petite astuce pour éviter les mauvaises surprises.
Un contrat mal ficelé peut ruiner votre projet… Mieux vaut prévenir que guérir !
Quand il s’agit de choisir une agence low code, une erreur fréquente consiste à se focaliser uniquement sur le prix ou sur une promesse séduisante.
Mais en réalité, c’est la transparence qui fait toute la différence.
Avant de signer quoi que ce soit, prenez le temps de comprendre les méthodes de travail.
- Comment l’agence structure-t-elle son accompagnement ?
- À quoi ressemble une semaine type de collaboration ?
- Quelles sont les étapes clés ?
- Le périmètre du projet est-il bien défini ?
Autant de questions qui méritent des réponses nettes, sans zone floue.
Vérifiez aussi la clarté des coûts.
Les tarifs compétitifs ne valent rien si vous découvrez plus tard des options indispensables… mais hors budget.
Demandez un devis détaillé, avec des livrables précis.
Exigez de savoir ce qui est inclus, ce qui est optionnel, et ce qui fait l’objet d’un surcoût.
Enfin, le réflexe le plus simple et souvent le plus puissant reste de demander des retours concrets.
- Contactez des clients existants, lisez attentivement leurs avis, posez-leur des questions. Comment s’est déroulé le projet ?
- L’accompagnement a-t-il été fluide ?
- Les délais ont-ils été respectés ?
Les projets réussis parlent souvent d’eux-mêmes.
👉 En résumé : une agence spécialisée digne de confiance n’a rien à cacher.
Elle détaille son fonctionnement, assume ses engagements, et valorise ses collaborations passées.
3. Quels outils low code utiliser ?
a/ Panorama des principaux outils du marché.
La bonne plateforme fait toute la différence.
Et aujourd’hui, les outils low code ne manquent pas.
Chacun a ses forces, ses cas d’usage, son public.
Encore faut-il savoir comment les combiner pour bâtir des solutions puissantes.
Weweb se distingue par son approche front-end visuel ultra-flexible.
Idéal pour créer des interfaces élégantes, adaptables à tous les formats, sans jamais sacrifier l’expérience utilisateur.
Xano, lui, assure toute la partie back-end.
Il permet de gérer des bases de données complexes, de construire des API robustes, et d’automatiser des logiques métier… sans écrire une ligne de code serveur.
Webflow est parfait pour les sites marketing ou les produits web stylisés.
Il allie design, référencement, et CMS sans friction. Pour les startups, c’est souvent un excellent point de départ.
Bubble va plus loin : il permet de développer des applications web complètes, avec des logiques conditionnelles, des workflows et une gestion fine des droits utilisateurs.
Sa courbe d’apprentissage est un peu plus raide, mais son potentiel est énorme.
Airtable, en tant que base de données visuelle, se marie très bien avec tous les outils cités.
Elle structure l’information, sert de socle aux automatisations, et reste facile à manipuler pour les équipes.
Enfin, des plateformes no code comme Make, Notion, ou même Outsystems (côté entreprise) permettent d’orchestrer des automatisations, de centraliser des process, et d’interconnecter toutes les briques digitales… sans coder.
b/ Critères de sélection pour choisir le bon outil.
Tous les outils low code ne se valent pas.
Et choisir la mauvaise stack, c’est risquer un projet bancal, lent… ou impossible à faire évoluer.
Alors comment faire le tri ?
Voici les critères à surveiller de très près.
La performance vient en premier.
Une interface lente, des chargements infinis, une base de données qui bloque ?
Impossible à accepter pour un produit digital destiné aux équipes ou aux clients.
Vérifie que l’outil gère bien les flux complexes, les interactions dynamiques et les volumes de données importants.
Vient ensuite la scalabilité.
Si ton application explose en usage, l’outil doit suivre.
Certains outils low code fonctionnent très bien pour un prototype… mais montrent leurs limites dès qu’on dépasse quelques utilisateurs actifs.
Un outil scalable permet de grandir sans tout reconstruire.
Troisième critère : l’expérience utilisateur.
Un bon outil te permet de créer des interfaces soignées, intuitives et adaptées à tous les écrans.
L’UX ne se négocie plus.
Des solutions comme Webflow, Weweb ou Bubble excellent dans ce domaine.
Enfin, n’oubliez pas les coûts de licence.
Certains outils sont abordables au début, mais deviennent très vite coûteux à l’usage.
- Calculez votre budget sur 12 à 24 mois, et pense à l’échelle : combien d’utilisateurs ?
- Combien d’automatisations ?
- Combien d’intégrations tierces ?
4. Quels avantages du low code ?
a/ Rapidité de développement et gain de temps.
Le temps est votre atout le plus précieux.
Et dans le digital, celui qui va vite prend toujours une longueur d’avance.
C’est justement là que se trouve l’un des avantages low code les plus puissants : sa rapidité d’exécution.
Le développement classique demande des semaines de cadrage, des mois de production, et souvent des délais qui explosent en cours de route.
Avec le low code, les étapes s’accélèrent, les cycles se raccourcissent, et vous passez de l’idée au prototype en un temps record.
Pour une startup ?
C’est la possibilité de lancer un MVP sans attendre.
Pour une PME ?
C’est le moyen de réagir vite à un changement interne ou à une nouvelle opportunité.
👉 Résultat : un gain de temps immédiat, doublé d’une vraie réduction des coûts de production.
Mais ce n’est pas qu’une question de vitesse brute.
C’est aussi une question d’agilité.
Vous testez une idée, vous obtenez des retours, vous itérez… sans devoir tout reconstruire.
Et ça change tout dans une logique de projets rapides, dynamiques, où chaque jour compte.
Exemples : Prototyper un CRM en quelques jours.
Imaginez la scène : un responsable commercial souhaite centraliser tous les échanges clients.
Avant, cela aurait exigé un appel d’offre, un cahier des charges de 40 pages et six mois de développement.
Aujourd’hui ?
Avec Xano, Weweb et un soupçon de Make, l’équipe Kairos peut prototyper un CRM opérationnel en quelques jours.
- La base de données prend vie rapidement avec Airtable ou Xano.
- L’interface client est construite avec Weweb.
- Les automatisations de mails et de rappels sont gérées dans Make.
Le tout sans sacrifier la qualité UX, ni les intégrations métier.
b/ Accessibilité et réduction des coûts.
Le digital ne devrait pas être un luxe.
Et c’est justement là que le low code fait la différence.
Il ouvre les portes de la création logicielle à des entreprises qui, jusqu’ici, n’osaient même pas s’en approcher.
Plus besoin de mobiliser une armée de développeurs full stack.
Les outils low code permettent à des équipes réduites, parfois même non, techniques de concevoir des applications puissantes, des portails internes, ou des automatisations avancées.
👉 Résultat : moins de profils ultra-techniques à mobiliser, et des budgets plus légers à tous les niveaux.
C’est cette accessibilité qui alimente aujourd’hui des centaines de projets rapides, portés par des startups, des PME, ou même des services innovation dans des grands groupes.
Chacun peut bâtir ses propres solutions low code, sans attendre un feu vert IT ou une enveloppe à six chiffres.
En plus, beaucoup de plateformes no code ou low code comme Notion, Webflow ou Make proposent des formules flexibles.
Vous payez à l’usage, à l’utilisateur, ou selon vos besoins en automatisation. Une souplesse précieuse pour contrôler vos dépenses.
Impacts sur la compétitivité : investir ailleurs grâce aux économies réalisées.
Ce n’est pas juste une question de faire moins cher.
C’est une question de stratégie !.
Quand vous réduisez vos coûts de développement, vous libérez des ressources.
👉 Pour investir dans le marketing, dans le design UX, dans la formation, ou dans de nouveaux canaux de distribution.
👉 Pour renforcer votre offre, affiner votre positionnement, ou tester de nouvelles fonctionnalités.
Les économies réalisées grâce au low code ne sont pas une fin en soi.
Elles deviennent un levier.
Un moyen de prendre l’avantage sur vos concurrents qui, eux, restent bloqués dans des cycles de développement lourds, coûteux, rigides.
En clair : le low code, c’est aussi un accélérateur de compétitivité.
c/ Flexibilité et évolutivité des solutions.
Le digital évolue sans arrêt.
Et les outils doivent suivre le rythme.
Le souci ?
Dans un environnement classique, chaque mise à jour devient un casse-tête.
Avec le low code, tout change.
L’un des plus grands avantages low code, c’est justement cette flexibilité native.
L’architecture repose souvent sur des blocs modulaires, faciles à déplacer, dupliquer ou remplacer.
Résultat : pas besoin de tout recoder dès que votre organisation bouge.
Un nouveau process métier ?
Une fonctionnalité à ajouter ?
Une règle qui évolue ?
👉 Vous adaptez votre application web en quelques clics, sans repartir de zéro.
C’est cette capacité à s’ajuster en temps réel qui séduit autant les équipes opérationnelles que les décideurs.
Et quand l’outil évolue avec vous, vous pouvez l’aligner plus facilement sur vos objectifs stratégiques, vos contraintes ou vos cycles budgétaires.
Mise à jour simplifiée : peu de lignes de code complexes, base modulaire.
Dans un écosystème low code, la maintenance ne rime plus avec dépendance.
Fini les semaines d’attente pour modifier un bouton ou intégrer un nouveau champ.
Grâce à une base modulaire, chaque composant est indépendant, modifiable, et surtout : compris par tous.
Les outils comme Xano, Webflow, ou Notion proposent une logique visuelle, intuitive, qui limite la manipulation de code complexe.
Et quand des ajustements sont nécessaires, ils se font sans bloquer l’ensemble du système.
Ce niveau de souplesse garantit une plus grande autonomie aux équipes, et une meilleure capacité à faire évoluer les outils sans explosion de budget.
4. Comment fonctionne le développement low code ?
a/ Les grandes étapes d’un projet low code.
Le fonctionnement low code repose sur un processus clair, fluide et itératif.
Chaque phase suit une logique précise.
Et ce cadre, à la fois structuré et flexible, permet de transformer une idée en application métier fonctionnelle… sans lourdeur technique.
Le secret ?
Un développement agile, piloté en cycles courts, avec des outils qui misent sur le développement visuel, le glisser-déposer, et une forte réduction du codage manuel.
Voici les 5 étapes clés qui composent un projet low code, de la première réunion à la mise en ligne.
Phase 1 : Audit et recueil des besoins (workshops).
Tout commence par une phase d'écoute.
L’agence organise des workshops avec les parties prenantes pour comprendre les flux de travail, les objectifs, les contraintes techniques et les utilisateurs finaux.
C’est l’étape où l’on cartographie les besoins réels, où l’on repère les points de friction… et où l’on commence à imaginer la future application logicielle.
👉 Cette base permet de bâtir un processus simplifié, mais bien ancré dans la réalité métier.
Phase 2 : Design de l’interface et prototypage rapide.
Place à la visualisation.
Grâce à des interfaces graphiques, l’agence conçoit les premiers écrans et parcours utilisateur.
Avec des outils comme Weweb ou Webflow, le prototypage visuel est immédiat.
Les retours utilisateurs arrivent vite.
Le client voit son logiciel prendre forme en temps réel, ce qui permet d’affiner les choix, tester des options, et valider la direction UX avant d’aller plus loin.
Phase 3 : Intégration des données et règles métiers.
C’est le moment d’entrer dans le cœur fonctionnel.
À cette étape, on connecte l’interface à une base de données (comme Xano ou Airtable), on définit les règles de gestion, les rôles utilisateurs, les workflows.
Les automatisations sont également mises en place à ce stade : notifications, calculs, envois d’e-mails, synchronisation d’informations…
Le tout sans surcharge technique et permet la réduction codage.
Phase 4 : Tests, retours utilisateurs, ajustements.
Une fois les briques en place, place aux tests.
L’objectif : valider que tout fonctionne, que les données circulent bien, et que l’expérience utilisateur est fluide.
Les retours d’un panel d’utilisateurs permettent de corriger les détails, d’ajuster certaines logiques et d’optimiser la navigation.
Cette approche s’inscrit pleinement dans un développement agile, orienté usage réel.
Phase 5 : Déploiement et suivi.
Dernière ligne droite : la mise en ligne.
L’application low code est déployée, les utilisateurs sont formés, et les premiers usages sont lancés.
Mais ce n’est pas fini.
Un bon projet low code ne s’arrête jamais là.
L’agence met en place un suivi actif, propose des ajustements, et reste disponible pour faire évoluer le produit à mesure que les besoins évoluent.
b/ Les rôles clés dans l’équipe.
Un projet low code réussi, ce n’est pas juste une question d’outil.
C’est une question d’équipe.
Chaque acteur joue un rôle précis, et l’organisation fluide du projet repose sur cette complémentarité.
Le chef de projet pilote l’ensemble.
Il assure le lien entre les attentes métier et les phases de développement visuel.
- Il veille au respect du :
- périmètre,
- du calendrier,
- et à la coordination des parties prenantes.
Le concepteur low code, ou "maker", construit concrètement l’application avec des outils comme Xano, Weweb, ou Mike.
Il assemble les briques, paramètre les règles, teste les automatisations.
👉 Il connaît les plateformes sur le bout des doigts.
L’expert UX/UI assure que l’interface est claire, intuitive et agréable.
Grâce à son travail, l’application devient simple à prendre en main, même pour les non-initiés.
Et selon le projet, d’autres rôles peuvent intervenir : intégrateur API, rédacteur UX, responsable qualité, etc.
L’importance de la collaboration client-agence : retours continus, ajustements en temps réel.
Ce qui distingue vraiment un projet low code, c’est son rythme.
Chaque membre de l’équipe, y compris le client, est impliqué tout au long du processus.
Pas de cycle fermé, pas de projet enfermé dans un silo.
Le client donne ses retours, visualise les maquettes, teste les premières versions, corrige en direct.
👉 Cette boucle rapide entre feedback et ajustement accélère la création d’applications et limite les écarts entre vision et réalité.
Client + agence = équipe unique, alignée et prête à faire évoluer le projet ensemble.
c/ L’approche agile appliquée au low code.
Chaque semaine, on découvre une nouvelle version… jusqu’au produit final !
C’est ça, la force du développement agile associé au fonctionnement low code.
Au lieu d’attendre six mois pour avoir un résultat figé, les projets avancent par sprints courts.
On priorise les fonctionnalités, on construit vite, on teste encore plus vite.
Chaque livraison donne lieu à des échanges, à des choix, à des itérations.
Cette méthode permet d’ajuster le cap sans perte de temps.
D’améliorer l’expérience utilisateur au fur et à mesure.
Et surtout, de livrer plus tôt, avec un outil déjà validé par le terrain.
5. Quels projets peuvent être réalisés avec le low code ?
a/ Exemples de projets les plus courants.
Le développement low code permet de créer bien plus que des petits outils d’appoint.
On parle ici de vrais logiciels métiers, puissants, robustes et personnalisés et pas seulement de sites internet ou d’applications mobiles.
Parmi les outils de gestion les plus fréquents :
- Des CRM sur mesure, connectés à des outils d’emailing ou de facturation.
- Des ERP pour piloter des flux internes : production, stock, RH, logistique.
- Des sites e-commerce, conçus avec des interfaces UX optimisées, capables de s’intégrer à des plateformes de paiement et à des systèmes de gestion des stocks.
- Des applications internes, pensées pour fluidifier les échanges entre équipes, centraliser l’information, ou simplifier des workflows.
Cas pratiques : Automatisation de processus métiers (facturation, marketing, support).
- Un cabinet d’avocats veut suivre ses dossiers clients ?
- Un service marketing souhaite automatiser ses relances ?
- Un support client cherche à centraliser ses tickets ?
Avec le low code, ces scénarios deviennent simples à exécuter.
👉 Exemples :
- Facturation automatique déclenchée à la signature d’un contrat.
- Campagnes marketing synchronisées avec le CRM via Make.
- Support client centralisé avec une interface développée dans Weweb et reliée à une base Xano.
Chaque cas repose sur un processus simplifié, avec une réduction du codage et une création d'applications orientée métier.
b/ Les secteurs qui en profitent le plus.
Le low code séduit de nombreux domaines.
Mais certains en tirent des bénéfices immédiats et massifs.
Dans le retail, on automatise les stocks, les retours clients, les mises à jour produits.
Dans les services, on crée des portails clients, des tableaux de bord pour suivre les performances, ou des outils internes pour optimiser la relation client.
Dans l’industrie, on gère les interventions, les plannings, les équipements.
Dans le domaine juridique, on centralise les dossiers, on crée des interfaces sécurisées pour les échanges avec les clients.
Et dans la finance, on automatise les rapports, on développe des outils de scoring ou de gestion de portefeuille.
Quand le low code devient un avantage concurrentiel : gagner en réactivité face aux opportunités du marché.
Dans un marché en mouvement constant, gagner du temps, c’est gagner des parts de marché.
Le low code permet de réagir plus vite à une opportunité, de tester une idée sans attendre, de lancer une nouvelle offre avant la concurrence.
c/ Réussir les projets sur-mesure complexes.
Peut-on vraiment créer un outil ultra-spécifique ?
Absolument, et voici comment.
Certaines entreprises ont des besoins qui sortent des sentiers battus.
- Une plateforme de gestion multilingue avec des niveaux d’accès très spécifiques.
- Une application de supervision interconnectée à plusieurs API métier.
- Un configurateur produit dynamique pour des commerciaux sur le terrain.
👉 Grâce à la flexibilité du développement low code, ces projets deviennent réalisables.
- On assemble les bons outils.
- On adapte les règles.
- On personnalise chaque brique, sans repartir de zéro.
Et surtout, on garde une capacité à itérer rapidement, à impliquer les utilisateurs finaux, à faire évoluer le produit en fonction des retours du terrain.
Ce qui relevait hier du développement spécifique complexe devient aujourd’hui un projet accessible, rapide à déployer, et optimisable en continu.
6. Quels sont les coûts d'une agence low code ?
a/ Les facteurs qui influencent le prix.
Derrière chaque devis se cachent plusieurs variables.
Et mieux vaut les comprendre avant de s’engager.
- La complexité du projet : un simple outil interne ou un tableau de bord ne demandera pas les mêmes ressources qu’un CRM connecté à plusieurs API métier ou qu’un ERP sur mesure. Plus le projet est ambitieux, plus le coût monte.
- L’expertise requise : certaines agences spécialisées maîtrisent une large stack d’outils (Weweb, Xano, Make, Airtable, etc.). Ce niveau de compétence technique justifie des tarifs plus élevés, mais il offre aussi des garanties : qualité UX, structure solide, évolutivité.
- Les technologies choisies : toutes les plateformes low code ne fonctionnent pas selon les mêmes modèles. Certaines facturent à l’utilisateur, d’autres au nombre d’automatisations. Ce choix impacte le budget, dès la phase de conception.
La logique de facturation.
Trois modèles dominent sur le marché :
Modèle |
Description |
Services au forfait |
Montant fixe basé sur un périmètre clair. Idéal pour des projets bien cadrés. |
Taux horaire |
Adapté aux besoins évolutifs ou aux ajustements fréquents. |
Abonnement mensuel |
Intègre conception, maintenance, support. Bon choix pour un long accompagnement. |
👉 Conseil : pour éviter les malentendus, exigez toujours :
- un devis détaillé avec les livrables,
- les outils utilisés,
- les limites éventuelles
- et les options disponibles.
b/ Pourquoi il est souvent plus rentable qu’un développement traditionnel.
Le développement low code fait gagner sur tous les fronts.
👉 Moins de code spécifique = temps de production réduit
👉 Moins de développeurs experts mobilisés = budget maîtrisé
👉 Moins d’allers-retours = projets plus fluides
Et ce n’est pas tout.
- La mise en ligne arrive plus vite.
- Les premiers retours utilisateurs aussi.
- Et l’outil commence à créer de la valeur plus tôt. Résultat : un retour sur investissement plus rapide.
Les pièges à éviter : attention aux licences annuelles ou aux fonctionnalités additionnelles.
Même un outil low code peut vous piéger si vous ne regardez pas sous le capot.
⚠️ Certaines plateformes facturent des fonctionnalités clés (export, droits utilisateurs, historique des versions).
⚠️ D'autres imposent un coût annuel pour maintenir l'accès à des intégrations ou à des performances serveurs optimales.
👉 Analysez bien les prix compétitifs en façade.
Car ce sont fréquemment les petits détails qui font déraper le budget.
c/ Comment budgétiser intelligemment son projet low code.
- Un petit détail peut parfois doubler la facture…
- Un champ personnalisé mal anticipé.
- Une intégration API oubliée. Une limite d’automatisation dépassée.
Et soudain, le coût de votre application change de dimension.
Pour éviter ça, voici une méthode simple à suivre :
- Lister les besoins réels de l’équipe métier.
- Évaluer les outils nécessaires, leurs licences et leurs limites.
- Prendre en compte la phase post-lancement : maintenance, mises à jour, suivi.
Conseil : planifier un budget ajusté, prévoir la maintenance et l’évolution future.
Un bon investissement ne se joue pas uniquement sur le prix initial.
Il se construit sur la durée de vie de votre outil.
👉 Intégrer dès le départ une enveloppe pour les ajustements futurs.
👉 Privilégier des services personnalisés qui s’adaptent à votre rythme et à vos priorités.
👉 Collaborer avec une agence low code qui propose un accompagnement clair et progressif, plutôt qu’un one-shot vite expédié.
C’est ainsi que le low code devient non seulement plus accessible, mais aussi plus rentable.
7. Quel type d’agence low code est fait pour votre projet ?
Toutes les agences low code ne se ressemblent pas.
Et c’est justement ce que la plupart oublient de dire.
Certaines excellent dans la création de produits digitaux sur-mesure : MVP, apps clients, outils métiers.
D’autres, au contraire, se concentrent sur l’automatisation des processus internes pour fluidifier les tâches du quotidien.
Enfin, quelques-unes adoptent une posture hybride avec une forte dimension conseil stratégique, capable d’analyser en profondeur vos flux, vos équipes, votre stack technologique.
Tout dépend de votre maturité, de votre ambition… et de ce que vous cherchez vraiment à construire.
a/ Trois profils d’agences, trois logiques de valeur.
Type d’agence |
Positionnement |
Cas d’usage idéal |
Spécialisée produit |
Conception d’applications métiers, MVP, SaaS, apps mobiles |
Lancer rapidement une app sur mesure, avec une UX propre et une interface complète |
Intégratrice de workflows |
Déploiement d’automatisations, optimisation de flux internes |
Gagner du temps sur les tâches récurrentes (ex : facturation, onboarding, CRM) |
Stratège process & architecture SI |
Audit, structuration des besoins, sélection d’outils adaptés, accompagnement |
Poser des bases solides pour créer un écosystème cohérent et évolutif |
8. Replatforming low code : comment faire évoluer un outil interne sans tout reconstruire.
Vous avez bricolé un outil interne sur Excel, monté un MVP no code sur Airtable, ou déployé un mini CRM sur Notion ?
- L’outil fonctionne… jusqu’au jour où il ne tient plus la charge.
- Les limites arrivent vite : lenteur, bugs, absence de logique métier claire.
- Mais bonne nouvelle : inutile de tout jeter.
Il existe une voie plus rapide.
Plus agile.
a/ Industrialiser ce qui fonctionne déjà.
C’est là qu’une agence low code fait toute la différence.
Elle reprend les fondations de votre outil existant, en s’appuyant sur une architecture plus solide :
- Weweb pour l’interface,
- Xano pour les règles métiers,
- Make pour l’automatisation.
Pas besoin de repartir de zéro : le contenu, la logique, les flux… tout peut être transposé, renforcé, scalé.
b/ Tableau comparatif : MVP maison vs. architecture low code.
Outil MVP initial
Solution low code déployée
Excel avec formules imbriquées
Back-end centralisé sous Xano avec logique métier structuré
Notion ou Airtable bricolé
Base de données relationnelle + API exposées pour intégration native
App Glide / Softr trop limitée
Front Webflow ou Weweb entièrement personnalisable
Automatisations au sein d’une solution existante (CRM, ERP, etc.)
Make + gestion des erreurs + logs + scénarios conditionnels avancés + récupération de données d'un système pour les utiliser dans un autre facilement
c/ Pourquoi passer au low code change tout.
Avec une architecture low code, vous gagnez en fiabilité, en performance, en maintenabilité.
Votre outil devient un vrai produit digital, prêt pour évoluer.
Et surtout : vos équipes retrouvent de la fluidité au quotidien.
L’agence ne se contente pas de coder.
Elle réinvente votre solution, en gardant l’ADN de ce que vous avez déjà construit.
Mais en mieux. Beaucoup mieux.
9. Avant de coder : l’audit low code pour révéler le potentiel caché de vos process.
a/ Diagnostiquer, avant d’exécuter.
L’erreur la plus répandue ?
Lancer une application sans baliser le terrain.
Pourtant, un audit low code bien mené change tout.
Il ne s’agit pas de détailler l’outil à construire.
Il s’agit d’observer l’écosystème existant.
Car chaque entreprise fonctionne avec ses propres rituels, contraintes, et mécanismes cachés.
L’audit prépare le sol avant d’y planter quoi que ce soit.
Et plus le socle est stable, plus la solution se déploie vite.
b/ Explorer la culture digitale interne.
Quel est le niveau de maturité tech des équipes ?
Ont-elles l’habitude d’utiliser des outils SaaS, de documenter leur travail, de structurer leurs données ?
Un bon audit ne se limite pas à un inventaire technique.
Il scrute les usages, les freins, les habitudes.
En somme, il mesure la capacité de l’équipe à s’approprier une application évolutive.
c/ Cartographier les outils existants.
La base de travail se trouve souvent dans un tableau Excel trop complexe, une base Airtable, un Zapier qui connecte deux outils bancals.
L’audit repère les fondations précaires et les points d’ancrage à valoriser.
Il s’agit alors de transformer le patchwork d’outils en une plateforme unifiée, logique, maintenable.
d/ Créer une roadmap d’automatisation réaliste.
Pas question de tout automatiser en un sprint.
L’audit priorise.
Quels flux métiers génèrent le plus de frictions ?
Quelles actions humaines répétitives peuvent être absorbées par des outils low code comme Make ou Xano ?
Cette roadmap devient le fil conducteur du projet.
Elle guide, elle rassure, elle évite les dérives.
e/ Intégrer les contraintes de sécurité et de conformité.
Une solution digitale bien pensée n’ignore jamais les enjeux de RGPD, de droits d’accès ou de systèmes interconnectés.
L’audit pose dès le départ les règles du jeu.
Qui peut voir quoi ?
Comment protéger les données sensibles ?
Quels systèmes doivent échanger entre eux sans frictions ?
C’est ici que se construit une architecture propre, durable et cohérente.
Et une fois l’audit mené ?
Tout devient plus clair. Moins de risques, plus de résultats.
Et surtout, une stratégie tech alignée sur la réalité du terrain.